Je suis né dans une meute particulièrement petite, le couple dominant Lobo (impressionnant loup noir)et Blanca (grande louve blanche ) mes parents, Azulee une louve étrangère au beau pelage brun, Yutt (animal au poil doré)un autre loup inconnu et il y avait aussi moi et ma sœur, Anune bête argentée. Mais si nous n'étions que six, nous n'étions pas une meute à négliger.
Je vais vous parler de mon père parce que ce loup était réellement énorme, un coup de taureau, des muscles et des crocs impressionnants. Mais ce n'est pas tout, il arrivait à détecter les pièges enfuis dans le sol et il savait précisément si un appât était empoisonné ou pas. Il haïssait les humains plus que tout, et je n'avais jamais eu le cran de lui demander pourquoi.
Nous étions soudé, meute vouée à la réussite, notre chef était doué d'une intelligence qui effrayé les humains. Beaucoup nous on traqué, mais la proie n'attrape pas le chasseur. Et nous avions repoussé un à un les ennemis qui nous avaient provoqués ! Tout allaient bien, nous gagnions en sagesse et en force tandis que les hommes se noyaient dans la misère.
Mais un jour une créature humaine à débarquée. Comme les autres elle essaya sur nous les pièges et les appâts empoisonnés, mais Lobo nous protégés, nous ne risquions rien. Alors, il devint obsessionnel, il nous voulaient, ou plutôt il voulait Lobo.
C'était un soir d'octobre, le ciel était recouvert de milles points scintillants appelés étoiles. Et la chasse s'annonçait fructueuse. Je courais juste derrière les dominants vers la grande plaine où nous le savions un troupeau de vache passait la nuit. Soudain, Lobo freina Blanca l'imita et je dû faire un bond de côté pour éviter de percuter l'animal. Je secouais la tête et couchais les oreilles en signe d'excuse. Mais il ne préoccupait pas de moi, il fixait le corps mutilé d'une vache. Le travail des hommes sans doute. La tête avait était déposée non-loin de la sur la droite. Lobo compris qu'il y avait des pièges disposés tout autour de la proie et il nous en fit part dans un grondement sourd. Tandis à bloc. Blanca se détourna vite du cadavre et s'approcha de la tête avec curiosité. Lobo la rappela mais elle n'écouta pas, tournant autour du "déché" comme venait de l'appeler mon père. Il leva la tête pour hurler au rassemblement et sonné le départ pour la chasse. Mais quand il ouvrit la gueule, un "CLAC" sonore se fit entendre. Nous nous sommes tous tournés vers le bruit, un piège se trouvait sous la tête de la vache, Lobo ne l'avait pas senti. La louve blanche glapit de douleur, un cri de souffrance horrible. Lobo s'approcha vivement et regarda le membre emprisonné de sa compagne. Du sang rouge coulait abondamment de la plaie et Blanca ne cessait de hurler. Lobo essaya plusieurs fois de casser le piège, de l'ouvrir à l'aide ces puissantes mâchoires, sans résultats... Les premières lueurs de l'aube pointaient le bout de leurs nez quand le dominant nous ordonna de regagner les montagnes , il devait avoir senti les hommes approcher. Mais nous voulions soutenir notre mère, celle qui nous avait rassurés tant de fois, qui nous avaient enseigné la chasse, notre reine, celle qui veillerait à jamais sur nous, qui était invincible. Elle était retenu par un piège d'homme. Elle nous lécha tous sur le haut du crane. Puis Lobo nous chassa à coup de dents, rendu agressif par la proximité du danger. Je voulus me rebeller, rester et protéger ma mère, mais je comprends aujourd'hui que cela n'aurait servi à rien ! Je fus repousser et du suivre les autres vers l'abri rassurant de la vallée. Cependant je ne pu m'empêcher de m'arrêter, et de repartir vers l'arrière. Je me dissimulait derrière un rocher et observait. Les hommes encerclaient ma mère et Lobo était invisible. La belle louve blanche s'était recroquevillée sur elle-même bien que sa patte emprisonnée n'aida pas vraiment la manœuvre. Je gémis sans bruit. Ils la dévisagées en riant, l'un d'eux la photographia, apeurée par le flash, elle recula encore d'avantage. Une plainte rauque m'indiqua que Lobo ne l'avait pas vraiment quittée parce qu'il se trouvait à quelques mètres de moi sur la droite et la fixait avec anxiété. Les humains rirent encore un peu puis ils lancèrent leurs laceaux, qui vinrent se nicher autour du coup de la blanche. Chacun d'eux tira de son côté, et je ne pu que regarder la scène, impuissant, ma mère en train d'étouffer, langue pendante, agonisante, elle ouvrit la gueule dans un dernier espoir, pour aspirer une dernière bouffée d'air, peine perdue, elle retomba sur le sol. Masse de marbre. Son œil si intelligent autrefois ne reflété plus que la mort. Je voulus me jeter sur les monstres qui avaient fait cela. Je voulais tous les tuer, les punir, venger ma mère ! Mais Lobo m'en empêcha, il m'attrapa par le museau pour me calmer, comme il le faisait quand j'étais petit.
Plusieurs lunes passèrent. Et Lobo n'était plus le même. Un soir il parti sans nous avertir. Je fus le seul à m'en apercevoir. Je le vit de loin en train de courir dans les territoires humains. Il courait sans prendre garde aux danger. Soudain, je vis un homme avec un bâton-qui-donne-la-mort. Il captura le loup imprudent. Mais moi je savais pourquoi il réagissait ainsi, il était malade d'amour, et Blanca était morte, nous étions tous mort de chagrin, mais ce n'était rien face à la douleur de notre chef. Il en était devenu fou. Il ne revint jamais. Et nous laissa nous défaire, défaire les liens qui nous unissaient tous.
Je finis par partir, laissant la ma vie d'avant, pour échouer sur les terres d'Arlénéa.